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Le matin du 30 mai 2025, le peuple cubain s’est réveillé avec la nouvelle de l’augmentation disproportionnée des prix d’accès à la téléphonie mobile. Cette mesure a été mise en œuvre sans que les autorités commerciales et les représentants du gouvernement ne l’aient annoncée au préalable. Avec ces modifications drastiques, l’entreprise ne respecte pas le point numéro sept du contrat de service de téléphonie cellulaire prépayée aux utilisateurs, qui stipule : « ETECSA informera le client, trente (30) jours calendaires à l’avance, de toute modification des conditions de fourniture du service. L’entreprise viole ainsi l’engagement contractuel établi avec les consommateurs du pays, ce qui constitue une violation légale de portée nationale.
ETECSA est passée d’une possibilité minimale d’accès à l’Internet au prix de 110 pesos cubains, à l’option la plus exigeante, un sac supplémentaire d’une valeur de 11.760 pesos, ce qui représente une augmentation de plus de 10.000 pour cent, équivalant à multiplier les coûts environ 100 fois dans son expression maximale. L’entreprise réduit également l’accès à 6 gigaoctets par mois dans le paquet de première utilisation ; ainsi, elle renforce l’expansion des taux de change supplémentaires à partir de 3 360 pesos cubains, ce qui équivaut à 1,6 fois le salaire minimum ou à 2,2 pensions de base d’un retraité.
Ce nouvel outrage vise à comprimer la consommation moyenne de la population, à améliorer le paiement en dollars par le biais de recharges ou d’envois de fonds internationaux. Au milieu d’un scénario aussi complexe, traversé par des coupures quotidiennes qui dépassent les 22 heures de service électrique dans les communautés de l’intérieur, l’accès à Internet n’est pas seulement une option de divertissement légitime ; il représente également un mécanisme de travail important, un accès aux sources d’information et un canal de communication, sur une île qui souffre d’un exode migratoire soutenu, près de deux millions d’habitants entre 2020-2025. Pour ces raisons, cette mesure affecte également l’économie des parents vivant à l’étranger, qui sont confrontés à des défis migratoires dans un contexte mondial de plus en plus hostile à ceux qui ont ce statut.
Ce dernier paquet s’ajoute au concert de mesures anti-populaires de couleur néolibérale promues par la plus haute direction du Parti communiste de Cuba (PCC). Le gouvernement ratifie sa volonté de promouvoir l’extractivisme économique, au lieu de renforcer les capacités productives de l’industrie nationale, d’une manière qui conduise à la valorisation de l’emploi et à sa répercussion sur le salaire des travailleurs. La voie populaire révolutionnaire contre un régime autoritaire et appauvrissant est la voie de la restauration de la justice et du bien-être du peuple cubain.